Une nouvelle chronique pour Le Monde Economie qui analyse la rhétorique du bonheur en entreprise. Le management se saisit d’outils et de titres pour favoriser le bonheur des individus, porté par le « responsable du bonheur » (en anglais : « chief happiness officer »).

Au-delà du soupçon d’hypocrisie et de l’ironie provoqués, en quoi ce mouvement est-il révélateur d’une volonté de l’entreprise de s’étendre à la sphère privée, depuis toujours celle des alternatifs et des politiques ?

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